La ville de Toulouse. Extrait d’une image acquise par le satellite SPOT 5 en juin 2002, moins d'un an
après l'explosion de l'usine AZF. Copyright CNES 2002 - Distribution Airbus DS
30 ans de SPOT ! Je joue un peu les prolongations pour l’anniversaire d’un évènement qui a vraiment été structurant pour le spatial en France et à Toulouse. J’avais écrit un premier article sur le développement de la ville rose à travers le regard des satellites SPOT et Pléiades à l’occasion des 25 ans du lancement de SPOT 1. Voici une mise à jour avec quelques nouvelles images et des chiffres plus récents sur l’évolution de la ville et sa population...
Toulouse, capitale européenne de l'espace et berceau des satellites d’observation de la Terre
On ne passe pas sa vie entière dans un berceau, comme disait Konstantin Tsiolkovski… Par contre, il est intéressant de voir comment évolue le lieu où on est né…
Tous les satellites SPOT et Pléiades ont vu le jour à Toulouse. Depuis 30 ans, ils scrutent l’évolution de la capitale européenne du spatial. Les images qu’ils fournissent apportent des informations très utiles sur l’évolution de la ville et de ses environs.
SPOT ou encore ? Suivre les évolutions dans la durée, un atout des satellites d’observation
Un des avantages des satellites d’observation est de repasser régulièrement au-dessus de chaque région du monde, indépendamment des frontières ou des contraintes politiques. Seuls les nuages leur compliquent un peu la vie…
En 2016, l’archive d’images satellites soigneusement conservée dans la ville rose retrace 30 ans d’histoire du développement de notre planète : développement urbain, occupation des sols, déforestation, évolution du littoral ou des calottes glaciaires, réchauffement climatique…
Changement local ou global : les satellites sont irremplaçables pour surveiller notre environnement.
Dans le cas de Toulouse, entre l’image SPOT de 1986 et celle acquise par Pléiades en 2014, d’autres images prises par les satellites SPOT témoignent du dynamisme de Toulouse et de ses environs.
L’image SPOT 5 présentée au début de cet article a été prise neuf mois après l’explosion de l’usine AZF : la cicatrice est visible depuis l’espace. Ailleurs, c’est le développement des surfaces construites qui est le plus spectaculaire, comme dans l’ancien bois de Limayrac, autour de la zone verte de la Ramée ou dans les communes autour de Toulouse. En comparant les images de 1986 à 2014, on est frappé par la diminution des surfaces agricoles au fil du temps.
Un observateur attentif notera également les grands travaux qui ont accompagné le développement de la ville :
- La boucle complète du périphérique achevée en 1995, l’extension de la zone de l’aéroport, la rocade arc-en-ciel mise en service en 1997, la Cité de l'espace qui ouvre ses portes en 1997 ou le zénith de Toulouse inauguré en 1999.
- La ligne A du métro est mise en service en 1993 après cinq ans de travaux. Son extension vers Balma-Gramont ouvre en 2003 et la seconde ligne est inaugurée en 2007.
- Au cœur de la ville, le centre de congrès Pierre-Baudis, le Théâtre National de Toulouse, les Abattoirs et la médiathèque José-Cabanis.
- Et, plus de 50 ans après, le retour du tramway à Toulouse : après des travaux démarrés pendant l'été 2007, la ligne reliant Beauzelle et Blagnac à Toulouse a été mise en service en décembre 2010.
Extrait d’une image de la ville de Toulouse vue par le satellite Spot 1 le 22 mai 1986.
La rocade est n'est pas encore en service. L’image présentée ici est de taille réduite.
La résolution de l’image d’origine est de 20 mètres.
Copyright CNES – Distribution Airbus DS
De 1986 à 2012 : les satellites témoins de plus de 25 ans d’évolution de la ville de Toulouse
Avant les satellites... Le tramway place du Capitole à Toulouse. Phographie du fonds
Eugène Trutat. Source : Wikimedia commons, mis à disposition
par les archives municipales de Toulouse.
De 1986 à 2016 : les satellites témoins de plus de 30 ans d’évolution de la ville de Toulouse
Sur un période de 30 ans, la ville de Toulouse s’est profondément transformée, avec le développement de la ville et de sa périphérie, en particulier depuis le début des années 90, pendant la période dont ont été témoins les satellites d’observation de la Terre.
Pour illustrer une toute petite partie de ces changements, les images suivantes mettent l’accent sur 3 lieux emblématiques des évolutions de la ville :
- Le Zénith de Toulouse, le quartier des Ponts-Jumeaux, au confluent du canal du Midi, du canal de Brienne et du canal Latéral.
- L’aménagement de l’ancien bois de Limayrac, la Cité de l’espace et la zone d’activités de la Plaine.
- La zone de l’aéroport de Blagnac, Aéroconstellation, les usines Airbus et le réseau routier des environs.
Dans les trois cas, l’article écrit pour les 25 ans de SPOT illustraient ces évolutions avec des vignettes extraites d’une image Pléiades de janvier 2012 et d’images acquises par Spot 5 le 17 juin 2002, le 1er mars 2005 et avril 2011. Deux autres images étaient utilisées : une acquise par Spot 3 le 28 juillet 1995 et une par le satellite Spot 4 le 21 novembre 1998. Je complète avec des images publiées par le CNES et Airbus Defence and Space à l’occasion de l’exposition sur les 30 ans de SPOT.
Pour ce travail sur l'évolution d'un site particulier, c’est le fait de disposer d’une longue série temporelle qui est le principal atout de l’image satellite. L’image de Spot 1 de mai 1986 sert de référence, même si sa résolution est très inférieure à celles de Spot 5 et Pléiades : elle ne permet pas de bien identifier les détails au cœur de la ville mais reste très utile, par exemple pour le réseau routier, la disparition des zones vertes ou cultivées progressivement remplacées par les habitations ou la zone de l’aéroport de Blagnac.
D’autres articles du blog Un autre regard sur la Terre ont déjà traité de deux autres exemples, avec l’évolution de la zone verte de la Ramée, la construction de la rocade Arc-en-Ciel et le développement de la zone de Basso-Cambo et la reconstruction du site de l’usine AZF et la construction du Cancéropole à l’occasion du dixième anniversaire de l’explosion de l’usine AZF.
Un satellite au zénith, au-dessus du Zénith de Toulouse, du canal du Midi et du quartier des Ponts-Jumeaux
Du Zénith à la basilique Saint-Sernin et passant par les Ponts-Jumeaux. 3 extraits d’images
acquises par le satellite Spot 5 en 2002, 2005 et 2011 et un extrait de l’image Pléiades
de janvier 2012. Copyright CNES - Distribution Airbus DS
Construit de 1997 à 1998, le Zénith de Toulouse a été inauguré en avril 1999. Ses plus grandes dimensions sont de 135 mètres sur 110, pour une hauteur de 26 mètres. Il avait été gravement endommagé par l’explosion de l’usine AZF en septembre 2001.
On peut également voir le musée des abattoirs : les travaux pour la création de l’ « espace d’art moderne et contemporain de Toulouse Midi-Pyrénées » ont débuté en 1997 et Les Abattoirs ouvrent officiellement en 2000.
Parmi les évolutions d’envergure les plus récentes, les toulousains reconnaîtront facilement la ZAC des Ponts-Jumeaux, où 1500 logements ont récemment remplacé 8 hectares de frîches industrielles entre le Boulevard de l'Embouchure, les rues Kruger et Daydé et le Boulevard de Suisse.
Le quartier des Ponts-Jumeaux en juillet 1976. Photographie prise d'hélicoptère par
Jean Guéguiner (fonds photographiques du Conseil général de Haute-Garonne).
Un oeil exercé peut identifier les subtiles différences avec le même quartier en 2012...
Nous n’irons (presque) plus au bois : le quartier de Limayrac, la zone d’activités de la pleine et la Cité de l’espace
Le cimetière de Terre Cabade, le quartier de Limayrac, la Cité de l’espace et l’aérodrome de Lasbordes. Extraits d'images acquises par le satellite Spot 5 en 2002, 2005 et 2001 et par
le satellite Pléiades en janvier 2012. Copyright CNES - Distribution Airbus DS
Vue de l'espace, la structure du cimetière, à proximité de l’observation de Jolimont contraste avec le reste de la ville.
Les premières habitations du quartier de Limayrac datent de l'an 2000. Sur l’image de 2002, la zone est encore en travaux. Le contraste est impressionnant avec l’ancien bois de Limayrac, visible sur les images satellites acquises jusqu’en 1998. Le contraste est saisissant quand on observe la surface occupée par le bois de Limayrac prise par SPOT 1 en 1986.
Egalement invisible sur l’image de 1986, la Cité de l’espace a ouvert en juillet 1997. Un an plus tard, la station MIR est installée dans le parc. Le nouveau bâtiment Astralia, avec le planétarium et la salle Imax, est inauguré en avril 2005. Pour la petite histoire, deux autres articles du blog Un autre regard sur la Terre vous permettront de découvrir la Cité de l'espace vue par le satellite radar TerraSAR-X et la Cité de l'espace photographiée par un ballon dirigeable dans le cadre d'un atelier proposé par le CNES et Planète Sciences Midi-Pyrénées.
A proximité de la zone verte de l’Hers et dans le prolongement des hangars de Lasbordes, c’est le magasin Leroy-Merlin qui a finalement ouvert en 2004, après une saga juridique de plus de dix ans : terrain acheté en 1991, travaux démarrés en 1993 et stoppés en juin 1994.
L’aéroport de Toulouse-Blagnac, Aéroconstellation et l’usine Jean-Luc Lagardère
La série d'images suivante montre l'évolution de la zone de l'aéroport de Toulouse-Blagnac et des environs immédiats.
Les satellites n’ont pas été témoins de toute l’histoire de l’aéroport de Toulouse Blagnac et des usines Airbus. En 1947, la longueur de la piste sud est portée à 1700 m. Entre 1964 et 1968, les pistes sont portées à 3000 puis 3500 mètres pour accueillir tous les types d’avions commerciaux. C’est de là que le Concorde, en mars 1969, et l’Airbus A380, en avril 2005, décolleront pour leurs premiers vols. Les aérogares Blagnac 1 et Blagnac 2 sont respectivement inaugurés en 1953 et 1978.
Jean-Pierre Defoy, qui anime le site japy-collection, m'a aimablement communiqué cette carte postale qui montre l'aérogare de Toulouse-Blagnac. Ici aussi, un oeil exercé pourra jouer au jeu des 7 erreurs entre cette photographie aérienne et la situation actuelle de l'aéroport de Blagnac en 2016.
Toulouse-Blagnac. Carte postale montrant une vue aérienne de l'aérogare.
Ne cherchez pas les parkings. Photo-reportage YAN.
Editions Cely - Marcel Pendaries - Toulouse. Crédit image : Japy collection
Sans remonter aussi loin, les travaux suivants sont visibles sur la série d’images SPOT : une nouvelle extension de l’aérogare et une nouvelle tour de contrôle sont mis en service en 1993. Le parking couvert P3 est inauguré en 2002 et la construction du nouveau hall D a commencé en 2005. Le développement du trafic nécessite l’extension des parkings voyageurs autour de l’aérogare. Cette évolution est très visible sur les images satellite.
Les environs de l’aéroport Toulouse Blagnac. Extraits d’images SPOT acquises en 1986, 1995, 1998,
2002, 2005 et 2011. Copyright CNES – Distribution Airbus DS
Le développement des usines Airbus au sud et au nord des pistes est également très spectaculaire.
Conçue pour la construction des avions A380, l’usine Jean-Luc Lagardère, un bâtiment de 500 mètres de longueur sur 250 mètres de largeur et 45 mètres de hauteur pouvant accueillir jusqu’à huit modules d’assemblage de l’A380, est inaugurée en mai 2004 et la zone industrielle Aéroconstellation en octobre 2004. C’est ici qu’ont été transférés les ateliers du site historique de Montaudran, où Air France effectuait des opérations d’entretiens de moyens-porteurs. Avec le développement de la ville, la piste historique s’est retrouvée enclavée au coeur de l’agglomération.
Le quartier de Montaudran fait lui-même désormais l’objet d’un projet d’aménagement important : la ZAC Montaudran et l'Aerospace Campus, avec l’ambition d’installer la plus grande concentration européenne en recherche aéronautique et spatiale.
Les travaux de la rocade Arc-en-Ciel sont très visibles sur cet extrait de l'image du satellite
SPOT 3 acquise en 1995. Copyright CNES - Distribution Airbus DS
La croissance démographique, moteur du développement de la ville…
Selon l’INSEE, Toulouse Métropole, la communauté urbaine du Grand Toulouse, a vu sa population augmenter de près de 50% entre 1982 et 2013. Les 37 communes comptent aujourd’hui près de 735000 habitants.
Evolution de la population de l'Aire Urbaine de Tououse. En haut, entre 1990 et 1999.
En bas, entre 1999 et 2007. Notez l'évolution entre la progression centrale et la progression
périphérique. Source : INSEE.
En janvier 2009, dans une note intitulée « Toulouse, moteur de la forte poussée démographique en Midi-Pyrénées », l’INSEE indiquait que « Toulouse se place au premier rang des grandes villes françaises en matière d’accroissement démographique, tant pour la ville-centre que pour l’agglomération ».
Pour l’ensemble de la région Midi-Pyrénées, ce sont surtout les nouveaux arrivants qui contribuent au dynamisme de la démographie: en Midi-Pyrénées, les naissances n’ont compté que pour moins de 10% du total des 32000 personnes supplémentaires par an entre 1999 et 2006. Par contraste, pour la commune de Toulouse, le fort excédent naturel explique 42 % de la croissance de la ville.
Des écoles à construire ?
Pour ses statistiques, l’INSEE s’intéresse d’abord à la continuité du bâti et utilise plusieurs définitions normalisées : Ville-Centre, l’Unité Urbaine et l’Aire Urbaine). En langage courant, cela correspond respectivement à la ville intra-muros, à la ville et sa banlieue immédiate (agglomération) et à la ville avec sa couronne périurbaine.
De manière générale, je vous recommande de consulter le site de l’INSEE pour comprendre la terminologie et les nouvelles règles liées au changement de méthode de recensement appliquée depuis 2008 (en particulier la notion de population légale millésimée) L’aire urbaine de Toulouse, c’est 342 communes : Toulouse, 71 communes de la banlieue, et 270 dans la couronne périurbaine.
Au 1er janvier 2007, elle compte 1 118 472 habitants, en cinquième position derrière Paris, Lyon, Marseille et Lille mais avec la plus forte croissance annuelle (1,9 %). Sans être un expert des statistiques, la circulation sur la rocade ou les prix de l’immobilier permettent de se faire une bonne idée de cette évolution. La croissance démographique de la couronne périurbaine accélère depuis 1999 (+ 3,1 % par an).
Contrairement à celui de la ville-centre, le dynamisme périurbain est surtout lié à l’afflux de nouvelles populations : l’excédent migratoire y représente 85 % de la croissance. D’après l’INSEE, la commune Toulouse compte 447 000 habitants (population légale en vigueur au 1er janvier 2012).
Quatrième ville de France, elle a vu sa population progresser à un taux annuel moyen supérieur de 1,7 % depuis 1999, soit 56 000 habitants supplémentaires. La banlieue représente un peu moins de la moitié de la population de l’agglomération dans ses limites définies en 1999. Bien qu’encore très soutenue, la croissance de la banlieue ralentit depuis les années 60-70 où elle atteignait des niveaux exceptionnels (+ 8 % par an). La moyenne depuis 1999 est de 1,6 % par an.
Par exemple, la population de L’Union, en croissance de plus de 20 % par an au début des années 60, celles de Ramonville et de Saint-Orens, en hausse de plus de 20 % par an au début des années 70, se stabilisent… Après avoir augmenté à un rythme constant depuis 1975, la croissance démographique de la couronne périurbaine accélère depuis 1999 (+ 3,1 % par an).
Assez naturellement, les communes périurbaines les plus dynamiques se situent souvent près des axes autoroutiers (+ 7,2 % pour Castelnau-d’Estretefonds, + 6,3 % pour Saint-Sulpice, + 4,7 % pour Baziège). Contrairement à celui de la ville-centre, le dynamisme périurbain est surtout lié à l’afflux de nouvelles populations : l’excédent migratoire y représente 85 % de la croissance.
Travail à l'école sur les images satellites
Les images publiées par le CNES et Airbus Defence and Space sont d'abord destinées à illustrer des panneaux de l'exposition réalisée pour les 30 ans de SPOT : elles ne sont pas superposables.
Pour permettre un travail pédagogique en calsse sur les séries temporelles et l'évolution des quartiers de Toulouse, je me suis amusé à tenter de les rendre parfaitement superposables.
Ce n'est pas évident à partir de fichiers au format jpeg sans référence cartographique mais, avec un peu de sueur, on y arrive... Il n'est pas non plus conseillé d'enregistrer en jpeg des images jpeg après traitement : ce n'est pas très bon car les effets du codage se cumulent et cela dégrade rapidement les images. Si vous faites des traitements successifs sur des images, sauvegardez toujours votre travail intermédiaire dans un format "sans perte" (TIFF, Raw, etc.)
Mais bon, sans avoir accès aux images au format d'origine, ce bricolage donne une assez bonne idée des changements... Cela permet de comparer plus facilement les différentes images et de localiser ces changements au fil du temps.
Si vous êtes intéressé, contactez-moi, je pourrai vous passer ce "sandwich d'images" au format Gimp-2 ou Paintshop Pro.
En savoir plus :
- Sur le blog "Un autre regard sur la Terre", d'autres articles dans la catégorie satellite et développement urbain, une page sur la famille des satellites SPOT et les articles sur les 30 ans de SPOT.
- La série d'images SPOT de Toulouse en grande taille : SPOT 1 en 1986, SPOT 2 en 1990, SPOT 3 en 1996, SPOT 4 en 1998 et SPOT 5 en 2002.
- Sur le site du CNES, la page de présentation du satellite Pléiades.
- Sur le site d'Airbus Defence and Space, la galerie d'images SPOT et Pléiades et les images de Toulouse. La page sur les images Pléiades et une plaquette de présentation des produits images Pléiades.
- Le site des archives municipales de Toulouse avec une page sur l'évolution de Toulouse à travers les plans anciens et un dossier pédagogique réalisé en juin 2008 par Brigitte Berthemet et Josiane Séguela : "Ville, Environnement et Développement Durable : Les transports en commun à Toulouse" (ficher pdf de 2,5 Mo).
- Très instructif : le site urban-hist.toulouse.fr sur le patrimoine urbain de Toulouse et son évolution.
- Sur le site Wikimedia Commons, une série de photographies du fonds Eugène Trutat mises à disposition par les Archives municipales de Toulouse.
- sur le site des Archives du Conseil général de la Haute-Garonne, une série d'anciennes cartes postales de Toulouse avec des vues aériennes et une série de photographies prises d'hélicoptère par Jean Guéguiner en juillet 1976.
- Sur le site www.studiodifferemment.com, un dossier sur l'histoire de l'île de Tounis et de la Garonnette, comblée et transformée en avenue en 1954.
- Sur le site de la Novela, des photographies des animations proposées à la Cité de l'espace par Planète Sciences Midi-Pyrénées pendant la Novela 2011 pour les 25 ans du lancement du satellite Spot.
- Sur le site de l’INSEE, deux dossiers : les grands courants d'échanges dans l'aire urbaine de Toulouse et trois grands secteurs de mobilité dans l'aire urbaine de Toulouse.
- Le site Japy-collection, une collection de cartes postales, trait d'union entre le passé et le présent, avec une intéressante collection d'anciennes cartes postales sur la Haute-Garonne, Toulouse, l'Ariège, les Hautes-Pyrénées, les Pyrénées...
- Un petit clin d'oeil pour terminer ce regard sur Toulouse, le dessin suivant qui montre que certains changements sont vraiment profonds...
Vue générale de Toulouse. Dessin de Taylor, d'après une photographie de M. Neurdein